Le trésor gastronomique du Métropole, « L’Alban Chambon ».
A la tête d’une place forte de la gastronomie bruxelloise, primé par le Gault Millau, qui lui a décerné son Clef d’Or 2003, Dominique Michou vous reçoit dans un cadre baroque italien. Des plafonds élégamment ornés de lustres en cristal, des fauteuils rouges cossus, vous voilà dans l’ambiance raffinée de L’Alban Chambon. Pour illustrer la cuisine de Dominique Michou, cette citation de Pierre Gragnaire convient à merveille « La créativité naît de l’authenticité et s’appuie sur la tradition. Un peintre ne réinvente pas l’arc en ciel, il utilise les couleurs autrement ».
La carte est bien établie. Par exemple, en entrée : cette salade de homard légèrement fumé et foie d’oie poêlé accompagné du matignon de poire (36euro), ce cocktail au croustillant de ris de veau et chair de tourteau sur un chautney de légumes (24euro). Pour continuer ce risotto à la coriande et sardine bretonne à la crème d’échalote (36euro) ou ce spaghetti de ris de veau à la truffe. Du côté dessert, le chariot de sorbets et glaces maison, accompagnés de fruits frais (14euro) ou ces croquettes de bananes, sorbet aux fruits exotiques et croquant de mangue.
La cave à vins étoffée et bien équilibrée en crus modestes et en brillantes bouteilles est habilement présentée par le sommelier qui œuvre tout en douceur. Vous serez séduit par ce Pomerol château La Fleur Pétrus 1986 (136 euro) ou ce château La Petite Eglise 1997 (68euro) et de ce qui est des blancs, ce Châteauneuf-du-Pape château Mont-Redon 2000 (45euro) et encore ce Sancerre 2002 « Le Chêne Marchand » (48euro).
A la tête d’une place forte de la gastronomie bruxelloise, primé par le Gault Millau, qui lui a décerné son Clef d’Or 2003, Dominique Michou vous reçoit dans un cadre baroque italien. Des plafonds élégamment ornés de lustres en cristal, des fauteuils rouges cossus, vous voilà dans l’ambiance raffinée de L’Alban Chambon. Pour illustrer la cuisine de Dominique Michou, cette citation de Pierre Gragnaire convient à merveille « La créativité naît de l’authenticité et s’appuie sur la tradition. Un peintre ne réinvente pas l’arc en ciel, il utilise les couleurs autrement ».
La carte est bien établie. Par exemple, en entrée : cette salade de homard légèrement fumé et foie d’oie poêlé accompagné du matignon de poire (36euro), ce cocktail au croustillant de ris de veau et chair de tourteau sur un chautney de légumes (24euro). Pour continuer ce risotto à la coriande et sardine bretonne à la crème d’échalote (36euro) ou ce spaghetti de ris de veau à la truffe. Du côté dessert, le chariot de sorbets et glaces maison, accompagnés de fruits frais (14euro) ou ces croquettes de bananes, sorbet aux fruits exotiques et croquant de mangue.
La cave à vins étoffée et bien équilibrée en crus modestes et en brillantes bouteilles est habilement présentée par le sommelier qui œuvre tout en douceur. Vous serez séduit par ce Pomerol château La Fleur Pétrus 1986 (136 euro) ou ce château La Petite Eglise 1997 (68euro) et de ce qui est des blancs, ce Châteauneuf-du-Pape château Mont-Redon 2000 (45euro) et encore ce Sancerre 2002 « Le Chêne Marchand » (48euro).
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